RISQUES BANCAIRES |
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Les risques que le banquier doit évaluer dans son activité quotidienne sont :
Le risque d'immobilisation
Le risque de taux
Le risque de contrepartie.
C'est un risque purement bancaire ! Il porte sur la trésorerie de la banque. L'argent prété est immobilisé entre les mains de l'emprunteur (débiteur) et le banquier (créancier) n'a plus moyen d'agir dessus. Le capital prêté est immobilisé pour la banque !
L'immobilisation de ces capitaux par la politique de distribution du crédit se traduit par une incapacité pour la banque à transformer son portefeuille de créances en liquidité ; et ceci afin de pouvoir assurer les retraits de fonds par ses clients déposants (comptes de dépôt ou comptes à vue) et de poursuivre le financement des besoins de sa clientèle (l'intermédiation).
La couverture de se risque se fait par une saine gestion des ressources de la banque et de sa trésorerie, qui doit assurer à la banque un équilibre entre ses ressources et ses emplois au plan commercial, et, entre ses fonds propres et ses engagements au plan financier.
Ces équilibres sont universels !
Plus spécifiquement, les risques sur les marchés de capitaux.
Le Risque de Revenu (la marge d'intermédiation)
Le Risque Systémique (lié à un système en général et au système bancaire international en particulier)
Certain de ces risques liés au financement du Commerce International peuvent être couvert auprès de la COFACE.
Limites commerciales : bien connaitre son client.
Calculer le Ratio de Capacité de remboursement.
Limites juridiques : prendre des garanties.
Garantie réelle
Garantie personnelle
Limites techniques dans un cadre international : le RIS
Limites comptables et financière : les provisions.
Celle-ci viennent en déduction du Résultat Brut d'Exploitation (Cf. le Compte de Résultat des banques).
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